Le conte du bas de la ville
Alors qu'on brunchait dans un nouveau café, nous observions sagement les 4 personnes qui fumaient des cigarettes à côté du bar Le Gaulois. Une fille visiblement cokée à 2h de l'après-midi se faisait zigner dessus par l'un des colons du groupe. Il ouvre sa braguette, lui zigne encore dessus, elle désnappe ses boutons de pantalons sports. L'un des deux autres jeunes hommes lui donne des cigarettes. Elle fume et se fait zigner par celui ci. Le vieux qui les accompagne surveille la venue de nouveaux curieux.
Tout le monde dans le café les observent encore. Fâchés, choqués ou curieux. 3 punks passent avec un chien. La chipie cesse de se faire zigner pour caresser le chien géant, le panneau de pantalon au vent. Elle essaie de les attirer dans son bout de ruelle. Ils refusent. Je continue de les espionner tout en mangeant mon sandwich tantra masala. Mal au coeur.
Après une bonne 15aine de minutes à nous offrir un show de double zignage (les gars l'avaient sûrement payée à deux), notre accompagnateur, le célèbre DJ Lover sort dehors et lui demande combien elle charge.
Elle fait mine d'être outrée et ils s'enfoncent dans la ruelle alors que les deux gars s'essuient un peu.
Je sais pas pourquoi, ça m'a choqué de voir une telle vulgarité en plein brunch de famille....
Zigne mais zigne égal.
3 commentaires:
st-hya, j'avoue
Quelle fantastique histoire, ca sonne tellement exotique d ici.
Apres avoir des singes et des crocodiles, je me lance a la recherche de cette espece rare
je tiens a preciser que dj lover na pas suivi le groupe dans la ruelle
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