samedi 6 octobre 2007

1 phrase par band

Jeudi, je suis allée dans un cocktail nufilm. Après j'ai fait une sieste pour aller à la soirée du Club Soda, avec Mehdi, A-trak, Kid sister etc. Le cadran sonne, je snooze, je snooze, je snooze. Je me reveille à 6h15 le lendemain matin.

Oups, comme on dit dans mon coin. Bof, je les ai tous déjà vus... Un appel bien placé au coloc qui me dit :

- Tu te souviens de la soirée Ed Banger en mars dernier au Club Soda ? Bah c'était juste une toute petite coche en dessous.

Comme mon souvenir de cette soirée était assez positif, même très positif, je vais me dire que le petit jean-loup, sous-personnage important, exagère. Juste parce que je ne voudrais pas avoir raté ça.

Bon passons. Vendredi soir, bien reposée, deux double espressos dans le corps, je vais me faire estamper pour le show de Spagliaro au Club Soda. Juste au cas ou on voudrait y aller... On passe aussi par le National pour se faire stamper. Ce sera DJ Krush ce soir. Juste au cas où.

Nous rentrons à la maison, pour manger nos succulents Paninis. (ok, j'ai acheté une machine à espresso et le four à panini Breville, tout de stainless vêtus). Au moins les paninis nous feront discuter sur le trottoir, avec tous les gens que je croise.

On prend d'autres cafés et on prend aussi le métro pour se rendre au coin de st-lau mont-royal. Dans le métro, je vois les mecs de Library Science, que j'ai vu l'après-midi même au Divan Orange. C'est du dub... Jean-Loup fait sauter le bouchon de son diluto. Comme une explosion, le bouchon fait un Pop énorme, rebondit sur les passagers. Nous rions de bon coeur.

Stamp au Lambi, au Academy Club, au Coda Club. Notre soirée se résumera à se balader sur la main en plusieurs allers-retours, à saluer les gens de Preste, des amis de Coachella, un dude de Misteur Valaire, les fafouins de vox pop, parler dans une caméra, raconter au peuple nos achats bourgeois de four à panini et de machine à espresso. Boire des millions de bouteille d'eau. Je suis à jeun ce soir. Mais pas Jean-Loup. Oh non, pas lui.

Bon, d'un bout à l'autre, j'ai vu ça :

Zoobombs : Des nippons avec les mêmes cheveux que Julien Cayer se garrochent avec une intensité surprenante sur scène, et mangent le micro.

High dials : De l'indie rock, à hocher de la tête mais assez générique.

Jamaica to Toronto : Un vieux James Brown, complètement showman mais sans cheveux, qui réussit à faire groover la foule de son funk jazzy, et même, à faire accroupir tout le parterre et shaker le booty en position 'petit bonhomme', faut le faire !

Thunderheist :
C'est chaud ! Dansant, et entrainant. Common, vous le savez que c'est bon.

Peer pressure DJ's: Des minettes en talons et leggings, qui dansent sur l'amalgame hip-hop/dance/commercial, le Coda Club semble avoir été créé pour cette bande, le DJ Booth est bien placé.

Todosantos : Le programme dit que la basse descend plus bas que l'on n'a jamais entendu... j'ai pas dû l'entendre, mais c'est dans le même genre que Thunderheist, de la musique de nintendo et/ou rhytmes connus dance/électro/ghetto un gars qui dit ouh et qui chante et deux compères derrière les machines, le tout dans un look très nu-raver.

5 estampes salissent mon bras
mes pieds ont mal d'avoir escaladé Saint-Laurent
je recommence ce soir, en alternant coda/saints/notman/unknown/national/justepourrire/lambi

Have fun dude !
(ok, je vais prendre des photos)

1 commentaire:

Doudou a dit...

Notman House il y a quoi?
Je croyais que ça avait été remplacé par la Sala Rossa.