Un début de vendredi soir
Quand on est arrivées au Saints, avec notre billet en main, je venais de faire de la marche rapide pendant 3 stations de métro. Vite mon amie vite, ça commence à 22h. Nous avons traversé le village, le quartier latin et le redlight à la vitesse de l'éclair.
Devant le club Opéra, The death set vidait sa van. L'histoire ne dit pas si j'ai su pourquoi pendant la soirée, ma mémoire fait défaut. Ouin, je pense pas qu'on était très en retard finalement. Je stresse souvent pour rien. Mais cette nouvelle mode de commencer à l'heure m'induit souvent en erreur.
Foule clairsemée. Bar occupé. Têtes connues. Nous sommes bien au Saints. On n'ose pas se diriger vers le stage, parce qu'il y a des gros spots de lumière vive, et que le band s'installe. Bla bla bonjour comment ça va, un jour ou personne ne me reconnaît parce que je me suis coiffée comme d'habitude. Passez tous dans ma face bande de clowns.
Et puis bam! The death set envahit le plancher de danse, les gens se meutent, et pendant ce qui semble un cours laps de temps, on a droit à un set qui garroche, des gens qui se foncent dedans, des trentenaires fous comme des enfants, yeah un show punk! J'ai rarement vu le mari de mon amie aussi heureux. Eli se vomit les tripes... non quand même pas mais il trouve qu'ils ont torché le petit cul à bonde do role
Le groupe fait Negative thinking, un peu de gueulage et un cover de Nirvana et voilà.
La toune connue
La vue de plus près
Le cover
Bonde do role ressemble à une bande de clowns. Et ils me passent dans la face. Je termine mon Rockstar energy drink assaisonné à mon goût et quitte vers la maison officielle ou je danserai sur les rythmes de ECP et des gars de Payzplay
1 commentaire:
bon bon bon... oh, et en passant, le cover excitant de la soirée c'était pas negative thinking, mais bien BOMBSHELL! j'ai même vu alex julien skanker, ça devait ben faire 8 ans que j'avais vu ça...
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