L'art du slow blog
Bon, je me trouvais tellement brillante d'avoir inventé une philosophie, celle du slow blogging. Mais je me suis dit que ce terme m'était venu si facilement que ça ne pouvait pas déjà ne pas exister. En effet.
Toujours est-il que c'est en lisant une entrevue (mystérieusement disparue du net) avec l'honorable Mr. Cayer avec qui je partage plusieurs points de vue, que je me suis dit... eurêka ! J'aime ça vous écrire. Mais j'haïs me dépêcher à vous donner des scoops comme ce fût le cas autrefois.
J'ai surtout même pas Internet à la maison... Alors comment vous parler en pleine nuit d'un show que je viens de voir.
Des fois j'écris dans text edit pis le lendemain je me dis qu'il est déjà trop tard pour publier. Des fois je découvre des trucs mais je me dit que vous devez déjà être au courant alors ça sert à rien de vous le dire.
Bref, comme il y en a d'autres pour courir les scoops, j'espère que vous aimez au moins mes histoires, je ne blogue plus pour être plus vite que d'autres. C'est ma santé mentale qui en dépends.
C'est dans cet esprit que je vais vous parler tantôt des deux shows que j'ai vus en fin de semaine (on est déjà mercredi, what !!)
4 commentaires:
(l) le format actuel!
J'aime ta philosophie. Parce que je suis de toute façon en retard sur tout et que les scoops me laissent indifférente. Et parce qu'après tout c'est le ton que tu donnes à tes histoires qui les rend aussi intéressantes.
L'entrevue est en effet disparue pour une raison inexpliquée. L'auteur du blogue m'écrit de l'Italie qu'il essaie de réparer son blogue. Et bien...
c'est plate, parce que je te trouvais brillant
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