L'après TTC
En sortant du Métropolis samedi soir, il y avait trop de choix.
Le Castlevania dans une soirée Nu Ravers on the Block à L'academy
Un after TTC au Loft habituel
DJ Zebra au Shag
Ou drinks dans une cour arrière.
Plusieurs consultations s'effectuent sur le trottoir. Je saute dans un taxi tandis que Marine, Julien et Corinne enfourchent leurs vélos. Direction Vieux Montréal ou Figur(in)e 8 et Orgasmic mixent.
C'est 8$. Je passe la soirée à discuter sur la terrasse plutôt que danser. Il y a les groupies, les hipsters, les vedettes de web télé, les sthugs et des amis. Il y a aussi un mec qui m'offre une gorgée de son drink. J'arrive pour en prendre mais Marie la groupie m'en dissuade quand elle me pointe une fille qui a complètement perdu la carte qui se trouve avec eux. Seigneur j'aurais pu boire du poison ! Note à moi même, ne jamais accepter de drinks. Ça n'arrive pas qu'aux autres.
Ça donne ça
Pas de photos d'enfants sur l'extasy.
7 commentaires:
Ouffff kel tronche de fille en forme...imagine si on aurais bu se drink....
Ouffff
Les Francos: (En attendant) la Fabrique (de neurones) cousus
Radio-Canada présente un couple de musiciens béats et heureux. D’une mièvrerie affligeante. La fille du duo : une rondelette au regard aussi éveillé qu’un cocker, le type : inconsistant et « cool ». Ils jouent des comptines pour adultes, des merdes sirupeuses qu’on pourrait très bien entendre au Centre de la Petite Enfance « Les angelots bleus ». Et ce truc cartonne. La nana danse avec un ours, gesticule comme une sous Chantal Goya sous anti dépresseurs. C’est « frais », c’est « gentil », c’est niais. « Ca ne mange pas de pain ». Ils font la une de tous les journaux. On pourrait légitimement s’attendre à ce qu’ils se fassent démonter, ils sont encensés par « la critique ». Les paroles et la musique frôlent la bêtise, pour ne pas dire qu’elles l’incarnent en toute beauté. On imagine les couples heureux fredonner dans leur underwear rose bonbon ce sous produit de la connerie universelle. Ce retour inquiétant du mièvre est-il simplement un épiphénomène de l’installation définitive de la « comfort life » ? Après la « comfort food », la « comfort music » dans une vie confortable ? On s’aime, mais pas trop. On vit, mais pas trop. On parle, mais pas trop. On moyennise en toute quiétude. Il paraît que même les « branchés » apprécient. C’est une caution d’ouverture d’esprit ? On écoute du « post rock » dans son IPod, mais on écoute aussi du « gentil » ? On est des connards prétentieux, mais au fond on a bon cœur. Du Crystal Castle en « top friends » sur myspace et la Fabrique (de neurones) cousus. Il n’y a pas que la laine qui se distend avec l’âge. La raison aussi.
Mariii: Arrête de pleurer t'es belle comme tout.
Anonyme 2: Le lien avec le billet d'origine s'il vous plaît?
Aucun billet d'origine, juste une anticipation. Une digression tardive au milieu de nulle part.
Cela étant dit, ne vous réfugiez pas dans une pseudo réflexion sur la "forme" (Cf. "question du lien") dès que des avis divergents s'expriment sur un sujet qui fait consensus.Je note qu'aucun débat sur le "fond" ne s'engage . On préfère plutôt pérorer sur la "forme". Jolie stratégie d'évitement que de demander le "lien" avec l'article, au lieu de répondre à la critique que je propose.
ouais, sauf que je ne critique pas vraiment les groupes en general, a part dire que j'aime pas tricot machine, parce que ca matteint pas.
ca sonne comme de la musique de trisomique. cest a ca que ca me fait penser. mais cest pas aussi bien ecrit que ta critique, cest pour ca que je ne l'ecrirai pas
...Ah, me voilà rassuré! Merci pour ta réponse Annie.
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