La course folle
Dans le stationnement du Wal-Mart, pendant que la tempête Rita faisait des ravages, un panier roulait allégrement au vent, se dirigeant tout droit vers une voiture brune stationnée. Il pleuvait très fort, le vent faisait virevolter de petites vieilles. Revenant d’un repas grec puant avec Jean-François il me vînt une idée. Prendre d’autres paniers et les déplacer légèrement afin que le vent les fasse aussi rouler dans toutes sortes de direction. Alors en traversant le trop vaste terrain d’asphalte, nous prenions les paniers renversés et les remettions droit, en courant pour ne pas se faire battre par le gars du gym avec un fusil. C’est ainsi que des gens auront des scratchs sur leurs chars et que j’ai dépensé 300 calories en riant sous la tempête.
Ce soir les croustilles sous un ciel variable et Interpol au Metropolis.
2 commentaires:
le beurre c'est bien meilleur
Une petite vieille (c'est le temps des pensions) est entrée dans le guichet, le vent l'a poussée jusque dans la porte qui mène dans la banque. Ça a fait un gros boum. C'est surement elle qui a déclenché les pannes d'électricité partout.
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